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Les plages du Ghana : entre beauté et désastre écologique

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Quand on pense au Ghana, on imagine souvent ses plages dorées baignées par les eaux chaudes de l’Atlantique, ses cocotiers qui dansent avec le vent et ses villages de pêcheurs animés. Mais derrière cette carte postale se cache une réalité bien moins idyllique : un désastre écologique qui fait réfléchir… et qui, moi, m’a profondément touchée.

? Le Ghana, paradis ou poubelle plastique ?

Saviez-vous que le Ghana, et plus particulièrement ses plages, est devenu l’un des symboles mondiaux de la pollution plastique ? Moi, je l’ai découvert à travers des images bouleversantes et des témoignages qui ne laissent pas indifférent. À Accra, la capitale, la plage de Korle Gonno, qu’on surnomme "Korle Lagoon", n’a plus rien d’un lagon paradisiaque. C’est une véritable décharge à ciel ouvert.

Des tonnes de plastique s’y échouent chaque jour, provenant non seulement du Ghana, mais aussi des pays occidentaux qui y envoient leurs déchets sous couvert de "recyclage". Oui, vous avez bien lu, des produits qu’on croit triés et valorisés finissent leur course à des milliers de kilomètres dans des pays qui n’ont pas les infrastructures pour les traiter.

? Un impact dévastateur sur la faune et les habitants

Les conséquences de cette pollution sont dramatiques. Les poissons, qui étaient une source essentielle de revenus et de nourriture pour les communautés locales, ingèrent du plastique. Et devinez quoi ? Ce plastique finit dans nos assiettes, car la chaîne alimentaire n’épargne personne.

Pour les pêcheurs et leurs familles, c’est un double coup dur : la mer ne fournit plus autant qu’avant, et les plages, autrefois sources de fierté, attirent moins de touristes. C’est une véritable spirale infernale.

♻️ Le rôle du fast fashion et de notre consommation

Ce qui m’a frappée, c’est que beaucoup de ces déchets viennent aussi de l’industrie textile. Les vêtements invendus ou de mauvaise qualité, qui partent en vrac vers des pays comme le Ghana, finissent souvent… sur les plages. Oui, des montagnes de textiles inutilisables se retrouvent abandonnées dans la nature.

Quand on parle de seconde main, comme chez Kamilou, on ne parle pas seulement de mode éthique ou de faire des économies. On parle aussi de ce type d’impact : moins consommer, mieux consommer, c’est une manière de protéger des endroits comme les plages du Ghana.

? Que peut-on faire ?

Personnellement, cette situation me pousse à agir, même à mon échelle. Choisir la seconde main, c’est dire non à cette surproduction qui étouffe la planète. C’est une goutte d’eau dans l’océan, mais si chacun y met du sien, on peut vraiment changer les choses.

Alors, la prochaine fois que vous hésitez entre un vêtement neuf et un vêtement d’occasion, pensez aux plages du Ghana. Pensez aux familles de pêcheurs qui luttent pour survivre, à ces océans pleins de vie qu’on est en train d’étouffer sous une marée de plastique.

? Et chez Kamilou ?

Chez Kamilou, je fait notre part. Je propose une alternative durable et accessible pour toute la famille, parce que je crois profondément qu’on peut faire la différence. Pas besoin d’être parfait, juste de faire un pas dans la bonne direction.

? Envie d’agir ? Passez voir ce que je propose sur www.kamilou.fr. Chaque achat d’occasion, c’est un petit geste pour l’environnement et pour un avenir plus propre. Et si on changeait les choses, un vêtement à la fois ? ?

 
Publié dans: ECOLOGIE