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Les déchets textiles et le Chili : quand nos fringues finissent dans le désert (vraiment ?)

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Un article un peu WTF mais 100% vrai signé Kamilou.fr 

T’as déjà entendu parler de la fast fashion, ses petits prix et ses collections toutes les deux semaines, hein ? (Oui, c’est toi *****, on te voit).  

Mais… tu t’es déjà demandé où finissent tous ces vêtements dont on ne veut plus ? Spoiler : pas toujours dans une friperie sympa ou chez tata Monique.  

Non, certains prennent un aller simple… pour le désert d’Atacama au Chili. Et là, je t’assure, c’est moins ambiance festival et plus ambiance cimetière textile géant. 

Le désert d’Atacama : le nouveau dressing mondial (sans cintres)

Alors voilà le topo : chaque année, des dizaines de milliers de tonnes de vêtements d’occasion (ou invendus) sont expédiés depuis l’Europe, les États-Unis et l’Asie vers des pays d’Amérique latine, dont le Chili.  

Officiellement, ces vêtements sont censés être revendus ou recyclés.

Sauf que… surprise !  

➡️ Une grande partie est trop abîmée, trop cheap ou invendable.  

➡️ Résultat : elle finit entassée dans le désert, formant de véritables montagnes de fringues, parfois visibles depuis Google Earth.  

➡️ Et le pire ? Ces vêtements mettent des centaines d’années à se décomposer (merci le polyester), tout en polluant les sols et les nappes phréatiques.

 Mais pourquoi le Chili ?!

Le Chili, et plus particulièrement le port de Iquique, est une zone franche. Traduction : les vêtements arrivent ici sans taxes douanières. 

Le problème, c’est que personne ne veut de ces millions de t-shirts mal cousus et de robes synthétiques. Et comme il n’existe aucune vraie filière de recyclage textile, le désert devient la poubelle du monde riche. Classe, non ? (non.)

C’est grave, docteur ?

Grave. Et pas qu’un peu.

- Pollution des sols  

- Libération de microfibres dans l’air  

- Vêtements parfois brûlés à ciel ouvert = émission de gaz toxiques  

- Populations locales en danger sanitaire

Bref, c’est une catastrophe écologique et humaine.

 Et nous, dans tout ça ?

On n’a pas tous envoyé notre pull Z*** direct au Chili, on est d’accord.  

Mais nos habitudes de consommation ont un impact mondial, même quand on ne le voit pas depuis notre canapé.

Alors, on fait quoi ? 

✅ On achète moins mais mieux  

✅ On privilégie la seconde main (tu la vois venir ?)  

✅ On recycle (vraiment) quand c’est possible  

✅ Et surtout : on réfléchit avant d’acheter un t-shirt à 3€ cousu à l’autre bout du monde  

 Et Kamilou dans tout ça ?

Sur www.kamilou.fr, je ne vend pas du jetable.  

On propose une seconde vie à des vêtements bébé, enfant et adulte, en super état, à petit prix, sans remplir les dunes chiliennes.

Chaque achat chez Kamilou, c’est :  

- un petit pas pour la planète  

- un vêtement sauvé de l’oubli  

- un look canon pour ton mini-toi  (ou toi évidemment)

- une consommation plus douce et plus sensée

Conclusion : nos fringues ne disparaissent pas comme par magie… elles voyagent, parfois beaucoup trop loin. Alors la prochaine fois que tu veux craquer sur un énième pull, pense au désert chilien, et viens faire un tour sur www.kamilou.fr à la place.

 
Publié dans: ECOLOGIE